jeudi 1 juillet 2010

La salle du Comité central, siège du PCF, architecte Oscar Niemeyer






La salle du comité central, siège du Parti communiste français, architecte Oscar Niemeyer
photographies : Alice Bénusiglio

La semaine dernière, le siège du parti communiste français était le décor du défilé de Thom Browne. Les mannequins arrivaient en combinaisons de cosmonautes qu'ils ôtaient pour faire apparaitre leurs tenues d'été. Quelques jours auparavant, j'avais pris des photographies de la salle, totalement vide comme un décor de science fiction déserté.



Thom Browne, men's collection SS 2011.
photographies : Maxime Büchi


Le siège du Parti communiste français, une oeuvre de Oscar Niemeyer

Oeuvre de l'architecte brésilien Oscar Niemeyer, qui en dressa l'esquisse dès 1965, l'immeuble du siège du PCF fut achevé en 1971, tandis que la coupole, le parvis et le hall souterrain ne le furent qu'en 1979-1980. Différents architectes entourèrent Oscar Niemeyer dans la réalisation de cet édifice : Jean Deroche, Paul Chemetov, Jean-Maur Lyonnet et enfin Jean Prouvé qui réalisa le mur rideau qui couvre totalement les deux longues façades de l'immeuble. Immeuble de verre et de béton, le siège du PCF se caractérise par la fluidité de ses courbes, la subtilité des jeux d'éclairages naturels et artificiels. L'édifice est remarquable également tant par le traitement des espaces que par celui du matériau, béton brut de grande qualité dont les traces de bois de coffrage sont le principal ornement. (photo : A.Bénusiglio)



































mercredi 30 juin 2010

Yinka Shonibare, MBE au Nouveau musée national de Monaco

Annonciation, XVIIIe siècle
Boîte de dévotion en cuir recouverte de papier et fermée par une vitre. Figurines en cire
modelée et peinte avec perruque de soie, textile en soie et dentelle. Encadrée d'une
bande de cuir dorée au fer. 27 x 41 x 18 cm
Coll. NMNM, don de Madeleine de Galéa, n° inv. 1972.3.10
Crédit photo : Mauro Magliani&Barbara Piovan, 2010

Yinka Shonibare,MBE, Un Ballo in Maschera II , 2004-2005
Edition 7 sur 10 + 2EA Tirage photographique, impression à jet d'encre sur papier Hahnemühle
51 x 76cm Collection particulière

Crédit line: ©the Artist. Courtesy the Artist, Stephen Friedman Gallery (London) and
James Cohan Gallery (New York).


Le NMNM (Nouveau musée national de Monaco) présente dans le cadre du projet "Looking up" une exposition mêlant les œuvres de l'artiste
Yinka Shonibare MBE aux riches collections art et scène du musée.

Issu de ce multiculturalisme qui constitue notre monde d’aujourd’hui, Yinka Shonibare, MBE, artiste d’origine nigérienne, vivant à Londres où il est né, aime les associations improbables. Sa réflexion sur l’identité et la mémoire mélange ses deux cultures d’appartenance sous un mode esthétique inédit. Quand il introduit au début des années 90 le pagne wax — tissu africain emblématique — dans l'univers victorien et en habille l’aristocratie qu'il représente par des mannequins sans tête, il trouve le geste artistique qui le rend immédiatement reconnaissable. L’œuvre de Yinka Shonibare, MBE vient de faire l’objet d’une rétrospective au Brooklyn Museum de New York puis au Smithsonian Institute de Washington et son projet Nelson's Ship in a Bottle a été inauguré à Trafalgar Square le 24 mai 2010. Monte-Carlo fut et reste le foyer d’une vie artistique particulièrement féconde pour les arts de la scène. On découvrira la “maquettothèque” Visconti de l’Opéra de Monte-Carlo, les sculptures et gravures des frères Bosio, les fabuleux décors lumineux d’Eugène Frey, l’étrange collection de tableaux transparents du Marquis du Périer du Mouriez, les boîtes religieuses issues de la collection de Galéa, et autres artificialia découvertes dans les réserves du musée. Un atelier de conservation des costumes fonctionnera pendant toute la durée de l’exposition et permettra au public d’appréhender les faces cachées d’un musée. (extrait du dossier de presse)

Neigilde, costume de La Mer de glace, acte III ,1909
Robe en satin de fil métallique argenté ornée de sequin et perles tubulaires parseméeset brodées de duvet de cygne blancDépôt permanent des Archives SBM au NMNM. n° inv. D.2002.2718.1Crédit photo : Mauro Magliani&Barbara Piovan, 2010
Yinka Shonibare,MBE Boy With Bow and Arrow on Stilts, 2006Mannequin sur échasses, wax imprimé sur coton227 x 100 x 100 cm Collection particulièreCrédit line: © the Artist. Courtesy the Artist, Stephen Friedman Gallery (London) andJames Cohan Gallery (New York) Photo credit: Stephen White

Biographie de Yinka Shonibare, MBE
Yinka Shonibare, MBE est né à Londres en 1962 et c’est à l’âge de trois ans qu’il part vivre à
Lagos, au Nigeria. Il revient à Londres pour étudier les beaux-arts au Central Saint Martins College, puis au Goldsmiths College où il obtient son MFA. Il appartient à la génération des Young British Artists. Il vit et travaille aujourd’hui dans l’East End de Londres. Au cours des dix dernières années, Shonibare s’est fait connaître en interrogeant les périodes coloniale et post-coloniale en regard du contexte actuel de la mondialisation. Il explore dans son travail les questions de races et de classes sociales, et ce au moyen d’un large éventail de techniques : peinture, sculpture, photographie et, plus récemment film. Shonibare examine en particulier la construction de l’identité dans une interdépendance complexe entre Afrique et Europe, ainsi que l’histoire politique et économique des deux continents. Il puise dans l’art et la littérature occidentale pour mieux poser la question de l’identité africaine contemporaine.
En se décrivant lui-même comme un “hybride post-colonial” Shonibare s’interroge sur la signification des définitions culturelles et nationales. Shonibare a été nominé pour le Turner Prize en 2004 et a été décoré et fait Membre du “Most Excellent Order of the British Empire”, MBE. Il a ajouté ce titre à son nom d’artiste. Okwui Enwezor, commisaire général de la Documenta 10 en 2002, lui passe commande de Gallantry and Criminal Conversation, œuvre qui a lancé Shonibare sur la scène internationale. Depuis, il a exposé à la Biennale de Venise et dans d’importants musées internationaux. En septembre 2008 débute au MCA de Sydney une grande exposition monographique itinérante. Elle est présentée ensuite au Brooklyn Museum de New-York en juin 2009, et enfin au Museum of African art, Smithsonian Institution, Washington DC, en octobre 2009. Son projet pour la Fourth Plinth Commission à Trafalgar Square, Nelson’s Ship in a Bottle, a été dévoilé par le maire de Londres, Boris Jonshon, le 24 mai 2010. L’artiste participera prochainement à une grande exposition collective d’Art contemporain africain Who Knows Tomorrow dans quatre musées berlinois. Il assurera par ailleurs le commissariat d’une exposition en sélectionnant 300 objets appartenant aux collections du Musée d’Israël à Jérusalem.
autre biographie wikipédia

























Portrait de Yinka Shonibare

Courtesy of Charlotte Player
Yinka Shonibare, MBE
jusqu'au 16 janvier 2011
Villa Sauber
17, avenue Princesse Grace
Monaco

www.nmnm.mc

mardi 29 juin 2010

Damien Deroubaix censuré au pavillon de l'exposition universelle à Shanghaï

A gauche, l'œuvre de Damien Deroubaix présentéé à l'espace Focus
du pavillon français à l'exposition universelle de Shanghai
Photographe : P. Régnier


Valérie Duponchelle annonçait dans le Figaro du 27 juin le "Couac franco-chinois à Shanghaï" suite à la censure d'une œuvre de Damien Deroubaix présentant une tête géante couronnée d'épines qui mâche des Yuans. L'exposition d'art contemporain du pavillon français à l'exposition universelle a été organisée par l'Adiaf, Association pour la diffusion internationale de l'art français, dirigée par le collectionneur Gilles Fuchs. Celle-ci présente les œuvres des lauréats du prix Marcel Duchamp 2009 : Saâdane Afif, Nicolas Moulin, Philippe Perrot et Damien Deroubaix.
L'œuvre de Damien Deroubaix ayant déplu aux autorités, un vigile a bloqué l'accès à l'exposition aux 60 000 visiteurs quotidiens du pavillon. L'article de Roxana Azimi et Philippe Régnier sur Artclair.com résume la situation.

Polémique au Pavillon français par Roxana Azimi et Philippe Régnier (artclair.com)
Présentation de l'exposition par Gilles Fuchs

vendredi 25 juin 2010

jeudi 24 juin 2010

Henrik Vibskov, The Last Pier Pandemonium, men's collection SS 2011

Henrik Vibskov






The Last Pier Pandemonium men's collection SS 2011

« Pandémonium » est un mot apparu en 1663 sous la plume de l’anglais John Milton dans Le Paradis perdu. Pandémonium désigne la capitale imaginaire des enfers où Satan invoque le conseil des démons. Depuis, ce mot est également utilisé pour désigner un lieu où règne corruption, chaos et désordre. Étymologiquement, John Milton a formé ce mot à partir du grec πᾶν (neutre de πας, « tout »), et δαίμων (au sens de « démon »). (wikipédia)

John Martin, Le Pandemonium, 1841

Henrik Vibskov, créateur danois, ovni excentrique dans la mode, signe une fois de plus une collection très originale. Son défilé est une performance spectaculaire, comme il en a l'habitude. J'aime le décalage de ce créateur et son style patchwork coloré, électrique parfois dissonant.

Henrik Vibskov men's collection AW 10.11
henrikvibskov.com

jeudi 10 juin 2010

Pieter Hugo chez Colette

Pieter Hugo, Congolese Wrestlers, Bateka Wyambo,
Wrestling persona Nyananzila, 2008.
C-Print Edition n°1/5, 110 x 110 cm


Pieter Hugo, Orlando Pirates supporter, Johannes Moatshe,
Coca-Cola Cup semi-final, Rustenburg, 2005.
Lambda Print Edition n°4/5, 95 x 95 cm

Pieter Hugo, Congolese Wrestlers, Musungu Mwaku,
Wrestling persona Maitre Poisson and Lukaya Nseka

Wrestling persona Maitre Rafia, 2008.
C-Print Edition n°1/5, 110 x 110 cm

Pieter Hugo, photographe sud-africain reconnu, est actuellement exposé au magasin Colette. Les clichés présentés sont spectaculaires, issus de trois séries : Boys Scouts, Orlando Pirates et Catch Congolese Wrestlers. Les modèles se mettent en scène ou affichent une certaine retenue (quand il s'agit des Scouts).
Ce photographe est également connu pour ses séries The Hyena and Other Men (récompensée par le prix Découvertes des Rencontres d'Arles) qui présentait une troupe de dompteurs avec leurs animaux domestiqués : Hyènes, singes, serpents et la série choc Rwanda 2004 : vestiges of a genocide qui présente les vestiges des massacres commis lors du génocide à travers des ossements, peintures, objets carbonisés, etc.
Les photographies de Pieter Hugo ne laissent pas indemne.
à voir absolument.

Pieter Hugo
jusqu'au 3 juillet
Colette
213 rue Saint-Honoré
75001 Paris

pieterhugo

mardi 8 juin 2010

L'association F7 et le Palais de Tokyo présentent Matthew Carter

Matthew Carter (1937) est un dessinateur de caractères typographiques britannique installé à Cambridge dans le Massachusetts, États-Unis. Durant sa carrière, il a été à la fois témoin et acteur du passage de la typographie au plomb à la typographique numérique, avec entre autre le design, au milieu des années 90, d'alphabets qui optimisent la lisibilité à l'écran : Verdana, Tahoma, Georgia, pour Microsoft. Il a également travaillé pour des institutions comme le Walker Art Center, le Museum of Modern Art et l'Université de Yale, au sein de laquelle il a enseigné. Hormis les caractères "écran" pour Microsoft, on lui doit aussi le Mantinia, le Sophia, le Big Caslon, l'Alisal, le Miller, le Fenway, le Vincent...
Matthew Carter a reçu de nombreux prix dont le "Chrysler Award for Innovation in Design", le prix AIGA et celui du Type Directors Club. Il dirige aujourd'hui Carter & Cone Type Inc.
La conférence présentée au Palais de Tokyo s'intitule Imitations authentiques. Carter envisage d'expliquer sa dette vis à vis de l'héritage historique et de décrire des cas où le dessin de lettres issues de formes anciennes a été adapté aux besoins des usages contemporains (ITC Galliard, Big Caslon, Miller, Vincent et Yale). Ses créations sont plus ou moins fidèles à leurs modèles, ce qui soulève des questions sur la responsabilité du typographe et sur l'interprétation et l'adaptation des formes traditionnelles pour les nouvelles technologies.

Mercredi 16 juin 2010, 19h30 Palais de Tokyo
13 avenue du président Wilson
75116 Paris
Accès dans la limite des places disponibles.
Réservation obligatoire :
reservation@fsept.net
http://www.fsept.net/
6 euros, accès conférence + expositions.
1 euro pour les étudiants en art.

Conférence en anglais.

























Le numéro un de kaléido a été composé en Galliard CC.
























Carter and Cone
graphic design.com
design museum

lundi 31 mai 2010

Adieu Louise


Louise Bourgeois est décédée à New York, a annoncé aujourd'hui la fondation italienne Emilio e Annabianca Vedova qui prépare à Venise une exposition sur cette figure majeure du panorama artistique contemporain. L'artiste avait 98 ans.
Louise Bourgeois demeura toujours dans nos esprits, son œuvre puissante transcendera les époques.

Louise Bourgeois, l'araignée, la maîtresse et la mandarine (aliceaupaysdesarts)
Louise Bourgeois, Dead in NY, Gaël Vaillant (Le journal du dimanche)
La lionne de l'art, par Valérie Duponchelle (Le Figaro)
wikipédia

vendredi 28 mai 2010

Georg Baselitz, galerie Thaddaeus Ropac

Georg Baselitz, Dunklung Nachtung Amung Ding, 2009
Wood, oil paint 308 x 120 x 125 cm (121 x 47 x 49 in)
Courtesy galerie Thaddaeus Ropac


Georg Baselitz,Volk Ding Zero (Folk Thing Zero), 2009
Wood, oil paint, paper, nails
308 x 120 x 125 cm (121 x 47 x 49 in)
Courtesy galerie Thaddaeus Ropac

Georg Baselitz, Ohne Titel, 12.I.2010, 2010
India ink, watercolor, ink, acrylic, paper
66 x 51 x cm (26 x 20 in)
Courtesy galerie Thaddaeus Ropac

Georg Baselitz, Ohne Titel, 13.I.2010, 2010
India ink, watercolor, ink, paper
67 x 51 x cm (26 x 20 in)
Courtesy galerie Thaddaeus Ropac

Georg Baselitz, Ohne Titel, 12.I.2010, 2010
India ink, watercolor, ink, paper
65 x 54 cm (26 x 21 in)
Courtesy galerie Thaddaeus Ropac

L'exposition de Georg Baselitz s'achève demain. Les deux sculptures monumentales dans la grande salle sont particulièrement spectaculaires. Les aquarelles oscillent entre l'abstraction et la figuration.

— communiqué de la galerie —

La galerie Thaddaeus Ropac est heureuse d’annoncer une exposition d’œuvres récentes de Georg Baselitz réunissant des sculptures monumentales, des aquarelles et une extraordinaire série de tableaux.

La première sculpture de Baselitz, Modell für eine Skulptur, date de 1979. Elle figurait à la Biennale de Venise en 1980. Trente ans après, la Staatliche Kunsthalle de Baden-Baden lui rend hommage en organisant une rétrospective de ces sculptures. De même que ses peintures, ces œuvres très fortes refusent toute espèce d’harmonie ou de symétrie au profit d’un jaillissement de formes élémentaires et de contours déchiquetés.

Les deux sculptures, Volk Ding Zero et Dunklung Nachtung Amung Ding font penser à une œuvre de 2003 intitulée Meine neue Mütze tout aussi monumentale, représentant un personnage debout en casquette blanche, short bleu et grosses chaussures noires. Autant ce personnage pouvait sembler cocasse avec ses allures de jouet, autant les deux nouveaux autoportraits empreints de souvenirs du passé affectent une attitude contemplative. On retrouve la casquette blanche, ornée maintenant d’une inscription sur le devant : Zero. Pour travailler à l’atelier, Baselitz met une casquette de baseball en coton blanc assez similaire, mais ce couvre-chef ressemble davantage aux bonnets carrés que les bébés allemands portaient pendant la guerre. L’artiste repart chaque fois à zéro tout en exhumantses des vieux souvenirs. Dans son texte Darragon explique : « Zéro qui signifie la possibilité de réaliser quelque chose en détruisant ou en annulant ce qui pourrait y faire obstacle, signifie aussi l’artiste allemand qu’il a pu devenir. […] Le Pandämonium était un premier saut en dessous de zéro. Depuis l’artiste a procédé par sauts et par soubresauts : Der Sprung nach vorn ist zugleich der Blick zurück . »

Aux côtés des sculptures monumentales seront exposées six peintures de nus inversés, sans tête, peintes sur fond noir dans une gamme de rose, orange, bleu, vert et blanc qui rappellent certaines études de nus telles que les Vénus décapitées que l’on trouve sur les sites archéologiques. Le style vif et spontané de Baselitz les fait osciller sans cesse entre figuration et abstraction.

Pour l’espace de dessin au premier étage de la galerie, l’artiste a sélectionné une vingtaine de ses dernières aquarelles. Les portraits inversés de l’artiste en mangeur d’orange coiffé de la casquette Zero , les effigies de Joan Crawford , une série des oiseaux sur une branche “remixée” à partir d’une série des années 70, etc.

Hans Georg Kern est né en 1938 à Deutschbaselitz. Cette ville de Saxe à laquelle il empruntera son nom d’artiste appartient alors à l’Allemagne de l’Est. Dès le début, ses œuvres expriment une réaction viscérale aux tragédies humaines en général et aux traumatismes de l’histoire allemande en particulier. Il est surtout influencé par l’Art brut, par les dessins et les écrits d’Antonin Artaud et par la sculpture africaine.

Georg Baselitz est très présent sur la scène internationale depuis le début des années 1960. Le Solomon R. Guggenheim Museum de New York a présenté en 1995 la première grande rétrospective de son œuvre, que l’on a pu voir ensuite au Los Angeles County Museum, au Hirshhorn Museum and Sculpture Garden de Washington, à la Neue Nationalgalerie de Berlin et enfin, en 1996-1997, au Musée d’art moderne de la Ville de Paris. En 2007, la Royal Academy of Arts de Londres a organisé une autre grande rétrospective, et de novembre 2009 à mars 2010, deux musées de Baden-Baden, le Museum Frieder Burda et la Staatliche Kunsthalle ont salué respectivement « Cinquante ans de peinture » et « Trente ans de sculpture » de Georg Baselitz.

Un catalogue d’exposition rédigé par Maria de Corral sera publié à l’occasion de l’exposition.

à voir vidéo sur artnet

Georg Baselitz
Aquarelles
Galerie Thaddaeus Ropac
7 rue Delleyme
75003 Paris